Si l'eau qui mouille s'évapore à la
lumière autant que le feu qui brûle se propage dans un courant
d'air tout en sachant que la chaleur est aussi un facteur
d'intensification de ces effets, Anne Hecdoth se mouille et brûle de
connaître l'effet du soleil intrusif sur la mer à boire. Elle
conclut que l'art scelle, ment, se propage en champs colorés
atmosphériques et diffus. Mais alors, pourquoi les horizons clairs
se floutent-ils du monde ?
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En congés jusqu'au lundi 6 Novembre, vous pouvez joindre mon collègue Nicolas B. (Gildas M.)
***Coucou Odile, je viens de voir, lire, ta dernière vanité 2303 et je veux te dire que j'ai beaucoup apprécié, ton œuvre, ton commentaire, et celui du grand critique et historien d'art. Génial ! (Sylvie M.)
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Tu ne changes pas ! (Ghyslaine J.)
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Orange et vert pomme ou vert printemps, c'est tonique ! Et tout le monde à besoin de tonifiant en cette saison. Vive ta chromothérapie ! (Anne L.)
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Ouah ! Quelle belle tirade accompagnant un bel effet tonique ! Si ce n'est pas de l'art ça y ressemble. (Danièle L.)
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Un bel éclat solaire, une bombe qui n’est pas "atonique". (Luc P.)
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Magnifique ce Rothko ! Une belle entrée en matière avant le musée Vuitton. J’ai écouté une émission sur la vie de Rothko, brillant étudiant, il n’a pas été pris à Harvard au motif qu’il y avait "trop de Juifs". Un destin contrarié et réussi. Bise ! (Nadia M.)
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Toujours très intéressant à condition d'avoir les commentaires, eux aussi très intéressants ! Merci beaucoup ! (Jean-Pierre C.)
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Chouchou,Je préfère la photo au texte...! Couleurs chaudes bien lumineuses ! Bisous ! (Laurence C.)
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Ambiguïté allusive ! L’art scelle, ment - l’harcèlement – de plus atmosphérique, se propage, affirme Anne Hecdoth. Bonjour l’ambiance !
Mais comment donc trouver quelque vérité, solaire, venteuse ou aérienne, alors que ses Horizons clairs s’obscurcissent dans l’énoncé du problème suivant :
Alors qu’elle flottait assise sur une bouée dans sa piscine, Anne Hecdoth tenait à la main un verre contenant un cube de glace. Dans un sublime surréalisme de l’instant, elle jeta le cube de glace dans la piscine. Et là est la question : le niveau de l’eau est-il monté, à l’instant où le cube est tombé à l’eau ou bien lorsque le cube a complètement fondu ? Je sais, ça jette un froid ! (Thierry P.)
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Je n’ai malheureusement plus le temps de lire vos publications. Aussi, pouvez-vous m’enlever de votre liste de diffusion. (Valérie D.)
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Ressemble à celui que tu as fait chez Christian. (Emmanuel V.)
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INFORMATION : Merci de ne plus utiliser cette adresse de messagerie qui est amenée à disparaître, et de la remplacer par l'autre. (Vincent L.)
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L'image montre l'artiste en train de reproduire un tableau de Rothko aux couleurs chaudes dans le salon de l'un de ses commanditaires. Sur le mur, à gauche, se trouve un miroir, symbole de vanité. Au premier plan, on voit le dossier d'un canapé moderne en cuir rouge foncé sur lequel est posé quelques feuilles de magazine et un ordinateur portable tandis que, au milieu, posé sur un drap imprimé à dominante verte évoquant la nature mais dont la fonction est de protéger le plancher et le mur d'éventuelles éclaboussures, se trouve un escabeau métallique et léger maculé de taches de peinture au pied duquel on devine du matériel artistique et des chiffons.
RépondreSupprimerLe texte fait allusion
- à la fugacité et à la fragilité des éléments naturels
- à la transformation constante de la nature
- aux risques pris par l'artiste (se mouille) pour approfondir ses connaissances et sa culture (brûle de connaître)
- à l'intrusion du soleil qui pose problème (mer à boire)
- aux nombreuses situations de harcèlement (l'art scelle, ment, se propage)
- à l'aspect officiel et illusionniste de l'art (l'art scelle & ment)
- à sa diffusion (se propage)
- au mouvement artistique du Color Field painting (champs colorés)
- à la résidence principale de l'artiste (les Horizons clairs)
- au sfumato (se floute)
- à tout ce que l'on voudra selon son imagination et ses propres références culturelles.
Le rapport texte/image évoque l'omniprésence convenue de la peinture de Mark Rothko dans la vie privée de l'artiste et la vanité des convenances qui font la pluie et le beau temps.