Avant d’entamer l’argutie englobant
plus largement le spectre de ses investigations, Anne Hecdoth sort de sa
zone de confort pour s’élever vent debout vers des niveaux de sophistication contre
les vents contraires et les risques d’allégations de victimisation s’incrémentant
dans un état de droit à la journée de la flemme collective. Si les fake news
polluent la toile, comment peut-on affirmer que l’air tue plus que le tabac et le
diesel moins que l’essence ?
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Personnellement, j'hésite encore entre VTT-TV (ça roule, mec !), TVB-TV (et on passe à autre chose)… et BMFTV (Défèque-News) (Vincent S.)
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Jibi danse ? (Yannick L.)
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AH !
Je ne sais pas si le tabac tue (plus ou moins qu'autre chose) mais le tabac pue (plus que toute chose).
Rien que de lire le mot "tabac" me donne la nausée et les discours captieux et forcément clivants à son sujet me font monter des bouffées de colère - tout comme l'évocation du fauteuil de Kabelo, des gilets jaunes et de leur RIC, des quasi-faillites d'Eskom et de SAA, de la guerre en Syrie, de la crise des migrants, du Brexit, de "Trump-la-mort", des religions, du pouvoir des marques, de la bêtise humaine et de bien d'autres sujets.
Je suis donc souvent en colère et ça ne sert à rien.
J'ai fui mon coffee shop ce matin, dérangé par des fumeuses qui, selon mon analyse détaillée des calandres, n'étaient pas des voitures à moteur diesel.
Fait: les fumeuses n'avaient pas bonne mine.
- Question 1: Qui, sinon les fumeurs pré-cancéreux, réfute encore la nocivité du tabac ?
- Question 2: Qui, sinon certains fumeurs (même pas tous) réfute encore la puanteur de leurs émanations ?
- Question 3: Pourquoi, au titre du respect (avec un sens bien perverti du terme), les non-fumeurs doivent accepter d'être enfumés, voire cancérisés, plutôt que le contraire ?
Ces questions peuvent se décliner au gré de mes sujets de colère sus-cités.
Et comme mes chers frères et sœurs (belles toutes deux!) sont tous des fumeurs, je me fais un plaisir de partager avec eux mes réflexions et émotions du jour.
PS 1 : Et à propos de jour, voilà deux nuits que, à cause de la quasi-faillite d'Eskom (notre EDF local) et des ses délestages aussi fréquents qu'intempestifs, je ne peux utiliser mon système de ventilation en pression positive continue. Je suis donc sous-oxygéné, fatigué et d'humeur fragile. Alors, on me respecte, et toc !
PS 2 : Lisez Jules Matrat de Charles Exbrayat (ce n'est pas un roman policier) en ayant bien une grosse boîte de Kleenex à portée de main. On y parle de Saint-Étienne, Marlhes et Saint-Genest-Malifaux mais ce n'est ni ce qui est intéressant ni ce qui est triste.
Voilà pour aujourd'hui ! Tout va bien, indeed ! Bises-qui-ne-sentent-pas-le- tabac. (Heurv')
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那是黑魔法?traduction Google (Luc P.)
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Anne Hecdoth joue-t-elle son propre rôle ? Se tenant à l’écart de la zone de confort, véritables "canaux aliénants" qui formatent, uniformisent, modèlent nos pensées. Se soustraire de cette zone, c’est s’élever au sens figuré, se mettre debout afin de s’extirper du champ de l’aliénation.
Mais rester dans la zone de confort tout en gardant son esprit critique, décrypter les messages subliminaux, percer le mystère des enjeux humains, tout cela n’est-il pas le propre de l’Homme libre qui s’affranchit de l’aliénation en connaissance de cause ?
L’attitude d’Anne Hecdoth apparaît comme une métaphore des vanités (ou Anne est-elle la vanité dans le tableau ?), spectatrice insouciante des contingences humaines.
De la suite dans les idées… tout n’est finalement que question d’échelles, celle de l’Humanité, de la Terre, de l’Univers d’une part et celle de l’individu réalisant sa propre vie d’autre part. La première est froide, objective, exempte d’affects, régie par la pulsion de mort. La seconde, participant de l’éprouvé subjectif, est nourrie par la pulsion de vie. La faiblesse de l’Homme est ce qui fait sa force. Affronter, remettre en question, se passionner, agir permettent d’EXISTER en luttant pour contrebalancer les succès de Thanatos au quotidien à l’aide des facéties d’Eros. (Philippe F.)
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Voici que Tintin et le capitaine Haddock se lancent à la recherche d'Anne H. dans le labyrinthe.
Cent fois ils croient l'apercevoir. Elle disparaît à droite, à gauche ; chaque fois ils croient la rattraper. Las, ce n'était que son ombre ! " Mille sabords !!! Où se cache- t-elle ?".
C'est alors que surgit une étrange créature. Celle-ci leur promet son aide à condition qu'ils trouvent la réponse à l'énigme qu'elle leur propose... (Anne-Marie F.)
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