(Montage réalisé à partir du travail plastique d'un élève de 6ème)
Vive les vacances ! Plus de pénitences !
Depuis lurette chacun sait que le travail c’est l’enfer : Dieu lui-même n’a-t-il pas puni Adam en le virant du paradis et en le condamnant aux travaux forcés à perpète avec obligation de souffrir physiquement et mentalement "à la sueur de [son] front" ? Anne Hecdoth rappelle donc que le travail (du latin tripalium : instrument de torture destiné à punir les esclaves) est un châtiment et que nous sommes d’emblée "condamnés" à bosser pour vivre. De là à hésiter entre l’enfer et la mort…
C’est au pied du mur qu’on voit le travailleur. (Anny C.)
De « tripalium », il est aussi sorti « aliénum » ou « libertad », selon le travail que l’on a. Demande aux 2 millions de chômeurs et aux 4 millions de précaires quelle souffrance ils préfèrent. Tripatouiller, peut-être aussi ? (Denis C.)
Obligation de souffrir… C'est ainsi que, pour s'assurer du suivi de la peine prononcée, il lui a laissé Eve… (Henry E.)
Beau détournement de ce document Renaissance. Merci du rappel biblique. Intéressant sujet de discussion mais peut être un peu décalé pour celles et ceux qui restent à la porte de cet enfer... faute d'emploi ! Bonnes vacances madame Hecdoth… Au fait, la mort sera rendue plus douce ces jours-ci grâce à la multitude des pots de chrysanthèmes déposés dans les cimetières. (Pierre B.)
Très mexicaine d'esprit ta vanité surtout en ces jours de la célèbre fête des Morts très joyeuse là bas… (Marie-Hélène B.)
De là à dire qu'on est maso si on aime son travail, il n'y a qu'un pas. Anne le franchira-t-elle ? (Herv' C.)