(revenant du festival des mots de La Charité sur Loire, oserais-je vous conseiller une lecture à voix haute ?)
Anne, amorphe, ose… déranger les esprits non avertis. Qui veut-on vêtir ? Venus ou Eve nue ? Peut-on les intervertir ? Ô dilemme ! Le dessein dérisoire des apparences plastiques au sein même de la communication : l’image nous dément-elle ?
Copyrigth © Bott-ICC-elli
Pourquoi vouloir les vêtir ? Laissez les nues et ne dérangez pas nos esprits. (Gisèle A.)
TABLEAU-REBUS : Dans les bras de Morphée, le chat contemple la lune, sa souris branchée sur les ondes.../Dénudée, sa voisine ne sait pas qu’elle est vue, Venus sortant de l'onde.../Le voyeur, caméra au sein, cache ce poing que je ne saurais voir... /hIC et nunC ! (Anny C.)
Economie d’images ! de plan ! et cætera ! UN SEUL DES SEINS serait grandement suffisant ; ET MOUVOIR ainsi (un suffit alors) le dérisoire… soyons ECO HOMME ! (Joël C.)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire