Sauvons les baleines menacées de disparition !
Le parapluie bas-de-gamme d'Anne Hecdoth, ne se pliant pas aux articulations prévues par le fabricant (chinois...), révèle sur toile richement colorée l'extrême qualité graphique du squelette de l'objet vaincu par une bourrasque assassine. Ainsi la baleine se recycle en réalisation plastique qui n'est pas sans rappeler les "dessins dans l'espace" d'un Julio Gonzalez.
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Ah ben forcément, si le parapluie est calibré à la mousson, il fera grise mine face à la bourrasque de chez nous ! (Hervé C.)
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Joli coup de vent ! (Denis C.)
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Chère artiste pas si anecdotique que ça ! Lorsque vous rencontrerez cette brave Anne dîtes-lui qu'il existe une excellente fabrique artisanale de parapluies difficilement destructibles du côté de Pau qui pour le moment n'est pas en Chine. Bien sûr c'est plus cher mais peut-être plus rentable sur la durée. Votre dévoué (Pierre B.)
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Mais où est l'araignée dans cette toile ? (Anny C.)
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Excellente idée de recyclage : peut-être que le CAPC serait preneur ?! Sculpture sur fond de berlingot me paraît un bon titre. (Cathy P.)
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L'image montre, en gros plan, les baleines pliées d'un parapluie à fines rayures colorées.
RépondreSupprimerLe texte fait allusion
- à la disparition de nombreuses espèces, dont la baleine, entraînée par la fragilité des milieux marins
- à l'obsolescence programmée des parapluie et à leur fin inéluctable
- à la qualité contestable de la production industrielle chinoise
- à l'art
- au vent
- au recyclage des objets de rebut
- aux sculptures de Julio Gonzalez
Le rapport texte/image évoque la vanité de la production industrielle et à ses conséquences écologiques.